Treize histoires à croquer chaque soir

Pétillante visiteuse, Flamboyant visiteur, Merveilleuse pousse de séquoia, bien le bonjour !

Ce premier semestre de l’année 2024 a été délicieusement renversant, et très intense, avec la parution de Plein-Ciel, la tournée de promotion qui s’en est suivie dans différents coins de France, en librairie et au cœur de beaux festivals et événements littéraires. J’ai, durant ce semestre de folie, dédicacé des centaines de livres, guidé à Lausanne une visite dans des expositions surréalistes, assisté à un bal époustouflant, eu le privilège de participer à l’édition 2024 des Petits champions de la lecture avec L’Etoile du Soir, terminé d’écrire un roman jeunesse aussi lumineux qu’un tournesol, et préparé en coulisses plein de chouettes projets qui se rapprochent de la surface – bientôt plus de nouvelles à ce propos ! Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour des articles de blog, mais je profite de cette pause estivale pour vous partager 13 lectures, qui, chacune à leur façon, ont su m’impressionner, m’émouvoir, m’amuser, me faire réfléchir.


Ecrire comme une abeille, de Clémentine Beauvais


J’apprécie beaucoup la plume de Clémentine Beauvais, fabuleusement irrévérencieuse, drôle, profonde, poétique, parfois de manière surprenante, et j’étais très curieuse de lire ses réflexions sur la littérature jeunesse qu’elle a parcouru en long, en large et en travers avec ses casquettes d’écrivaine, de traductrice et de chercheuse. Accompagnée d’autres passionnés, elle a d’ailleurs lancé le projet d’une Maison de la Littérature jeunesse Francophone que je vous invite à découvrir.


Dans Ecrire comme une abeille, guide fourmillant de conseils, de réflexions, de titres d’ouvrages jeunesse, Clémentine Beauvais nous partage son amour de cette littérature, véritable creuset dans lequel le jeune lecteur forge son rapport aux histoires. On y retrouve sa voix et son humour, et ce guide qui n’est pourtant pas une fiction se boit comme du petit lait. J’y ai retrouvé mentionné un grand nombre d’ouvrages que je connaissais et d’autres pas du tout (j’ai pris des notes !) J’y ai retrouvé des titres qui ont marqué mon enfance et dont je désespérais de redécouvrir la trace car je ne me souvenais que de l’histoire, j’ai ri, j’ai réfléchi, et j’ai refermé la dernière page avec le sentiment profond que oui, la littérature jeunesse francophone est un trésor, et que l’on peut se sentir immensément fier d’y contribuer.

Du thé pour les fantômes, de Chris Vuklisevic


Une très belle révélation que ce roman de fantasy qui ne ressemble à nul autre ! On y suit l’histoire de deux sœurs, Agonie et Félicité, sorcière et passeuse de fantômes, dans un récit qui mêle le conte traditionnel (le conte un peu cruel, le merveilleux qui menace, enchante, et se tapit au creux des bois, ou peut-être des théières) aux secrets de famille (les héritages que l’on porte, l’enfance qui nous marque, les liens familiaux qui justifient le pire comme le meilleur), le tout relevé d’une part de fantaisie d’une grande originalité. La plume de Chris est absolument superbe, on se délecte. Ses deux héroïnes cassent tous les codes que l’on pourrait attendre et, en même temps, portent le reflet d’archétypes puissants, notamment celui de la sorcière, d’une manière qui sonne juste jusque dans les entrailles.


Le thème de la sorcière est en vérité tout à fait fascinant. Et je réalise, à écrire cet article, qu’il se trouve au cœur de quatre des romans que je vais vous présenter, chaque fois traité d’une manière complètement unique. Cela fait partie des grands plaisirs du métier d’écrivain que de cuisiner à sa sauce les archétypes fondateurs pour en offrir une facette nouvelle aux lecteurs et aux lectrices. Plus nous goûtons de voix, de visions, de restitutions variées d’un thème donné, plus nous en percevons la complexité, l’essence multiple. En voilà une pensée réjouissante!

Rita, de Marie Pavlenko


Rita est un roman jeunesse poignant, contemporain, narré par la plume à la fois percutante et émouvante de Marie Pavlenko : un roman qui parle de vulnérabilité et d’amour, de secrets qui blessent, de pauvreté, de honte, de résilience, d’entraide et de courage. Rita, la belle Rita, fait son arrivée dans un nouveau lycée. Elle fascine tout le monde et trouve vite sa place dans un petit groupe d’amis. Bienveillante, mais mystérieuse, puissante mais repliée sur ses blessures, personne ne soupçonne ce que traverse Rita. Sait-on jamais, au fond, les épreuves, les ressentis que traversent nos proches ? Peut-on tout confier à l’autre ? Quelle est la frontière entre la capacité à demander de l’aide et la fierté, la dignité, qui nous pousse à ne pas le faire ? Marie Pavlenko croque avec une immense justesse les voix adolescentes qui se croisent et se rencontrent autour de Rita tout au long de ce roman choral qui vous garde sur vos orteils jusqu’à la dernière page.

Miss Charity, de Marie-Aude Murail

Avec Marie-Aude Murail, je reviens encore et toujours à mes amours de jeunesse, car sa plume a accompagné mon adolescence : je sais que, forcément, je vais être embarquée, émue, touchée. Ce fut bien évidemment le cas avec ce roman, réécriture librement adaptée, fantasque et savoureuse, de la vie de Beatrix Potter. On y suit Charity, petite fille de la bonne société anglaise des années 1880, qui grandi avec une personnalité, des centres d’intérêt et une indépendance d’esprit et de cœur qui vont ne faire que s’affirmer au fil des années. Au fil des pages, les questions que se pose Charity sur le sens des choses et du monde reviennent nous interroger comme une ritournelle : comment trouver sa place dans un monde où tout est d’ores et déjà parfaitement orchestré à l’avance ? Quel est le fil du vivant, le fil créatif qui nous anime ? Charity est si bien ancrée dans sa vérité intérieure qu’elle nous aide à ressentir la nôtre et nous invite à la suivre et à nous émerveiller du vivant et de la toile des liens qui nous constituent à chaque instant. Un roman plein de nostalgie douce, d’espoir, de moments cocasses et émouvants ; une petite merveille.

Colossale, de Diane Truc et Rutile

Un webtoon désormais adapté en papier qui fait beaucoup parler de lui, et à raison !
Jade est fille d’aristocrates et doit se conformer aux normes de ce milieu social, tout en dissimulant que sa famille est au bord de la ruine. Ecole prestigieuse, soirées mondaines, traditions bien ancrées dans lesquelles elle tente de faire bonne figure. Cependant. Jade est animée par une passion qui ne colle en rien avec son environnement : la musculation. On suit son histoire et son émancipation progressive, au sein d’un groupe de personnages sympathiques et/ou détestables qui jouent des codes pour mieux les renverser. Des thèmes forts : le carcan social, la normativité, la responsabilité intergénérationnelle également, puisqu’il est attendu de Jade qu’elle fasse des choix de vie importants pour sauver la réputation familiale. Mais aussi l’importance de l’amitié, le courage d’être soi, la possibilité constante d’évoluer et de bâtir son propre chemin. Un webtoon à la fois plein de puissance et de fraîcheur que je ne peux que vous conseiller de découvrir !

Déracinée, de Naomi Novik

J’avais déjà adoré La Fileuse d’Argent de la même autrice, mais Déracinée m’a emportée encore plus loin ! Je dois remercier Paul Beorn qui me fait toujours d’excellentes recommandations littéraires pour ce moment d’évasion. Ici aussi, Naomi Novik revisite le mythe de la sorcière. Le Bois, entité inquiétante et dangereuse, menace un village. Face à lui, une tour habitée par un sorcier, le Dragon, tient le Bois à distance. En échange de quoi, le village offre au Dragon une jeune fille pour le servir tous les 10 ans. Agnieszka, maladroite, indépendante et un peu étrange, ne s’attendait pas à être choisie, et pourtant… Il y a quelque chose de poétique, d’acéré et de jubilatoire dans la plume de Naomi Novik qui me charme à chaque fois. Différemment que dans Du thé pour les fantômes, l’autrice reprend des éléments du conte et les renverse ou les éclaire de manière piquante et unique. J’ai adoré cette lecture, la terreur que représente ce Bois et la manière dont la galerie de personnages qui se meuvent autour d’Agnieszka va choisir de se positionner face à cette menace ; l’atmosphère tissée par l’autrice m’a englouti dans le récit de la première à la dernière ligne.

Shades of Magic (la trilogie), de Victoria Schwab


J’ai eu beaucoup de plaisir également à découvrir cette trilogie de Victoria Schwab dont j’avais déjà apprécié La vie invisible d’Addie Larue. En voici le résumé :

« Kell est le dernier des magiciens de sang, des sorciers capables de voyager d’un monde à l’autre. Des mondes, il y en a quatre, dont Londres est, à chaque fois, le cœur et l’âme. Le nôtre est gris, sans magie d’aucune sorte. Celui de Kell, rouge – on y respire le merveilleux à chaque bouffée d’air. Le troisième est blanc : là, les sortilèges se font si rares qu’on s’y tranche la gorge pour une simple incantation. Le dernier est noir, noir comme la mort qui l’a envahi quand la magie a dévoré tout ce qui s’y trouvait, obligeant les trois autres à couper tout lien avec lui.
Depuis cette contagion, il est interdit de transporter le moindre objet entre les univers. C’est malgré tout ce que Kell va prendre le risque de faire, histoire de défier la famille royale qui l’a pourtant adopté comme son fils, à commencer par le prince Rhy, son frère, pour qui il donnerait par ailleurs sa vie sans hésiter. Mais, à force de jouer avec le feu, il finit par commettre l’irréparable : il emporte jusque dans le Londres gris une pierre noire comme la nuit, qu’une jeune fille du nom de Lila décide, sur un coup de tête, de lui subtiliser. Pour elle comme pour lui – pour leurs deux mondes, à vrai dire – le compte à rebours est lancé. »


L’univers développé par l’autrice est la grande force de ce récit. Visiter ces différentes versions de Londres aux spécificités très joliment évoquées donne un charme particulier à la lecture. A cela s’ajoute une poignée de cinq personnages principaux développés au fil des trois tomes qui portent solidement le récit. J’ai beaucoup aimé la particularité de chacune de ces personnalités, les relations qui se nouent entre eux et leurs évolutions.

Ici et seulement ici, de Christelle Dabos


Bien entendu, j’ai lu et adoré La Passe-Miroir, mais ce n’est que récemment que j’ai dévoré cet autre roman de Christelle. Ce fut une lecture fulgurante. Quel tour de force d’écrire quelque chose d’aussi radicalement différent à la suite de cette série phare qu’est la Passe-Miroir ! J’ai été conquise par Ici et seulement ici qui traite de manière étrange, viscérale et fascinante des années de collège, de ce microcosme qui peut-être traumatisant, ou formateur, ce passage entre l’enfance et l’adolescence, presque une forme de mort ou de mutation, des rôles que le groupe nous oblige à endosser (et que certaines refusent d’endosser… comme quoi, c’est possible ), de la difficulté à trouver sa place dans cet écheveau complexe de relations qui répond à ses propres règles, la Toile de Cet Instant… Un récit totalement différent de tout ce que j’ai pu lire ailleurs sur le sujet, j’y retrouve, cela dit, quelque chose de la patte de l’autrice, de son pas de côté, à travers le voile, pour poser un œil affûté sur cette période de vie charnière qu’est l’adolescence et de nous la restituer autrement, par le biais de fragments qui s’entrechoquent, se trouvent, s’assemblent en un portrait coup de poing.

Quand vient l’été, de Laura Nsafou et Reine Dibussi


Grand plaisir de lecture que la découverte de ce roman graphique à quatre mains qui nous parle de deuil, d’amour et de reconstruction. On y découvre différentes étapes dans la vie de Rachel symbolisées ingénieusement par des camaïeux de couleurs différents qui soutiennent la narration. Les illustrations sont magnifiques, riches de détails et d’émotion. Le récit aborde des thématiques fortes : comment se reconstruire ou retrouver sa place au sein de sa famille après le décès d’un proche ? Quel impact sur la trajectoire de vie, sur la relation à soi-même, au monde, aux autres ? Beaucoup de douceur, de sensibilité et de force dans cette très belle histoire avec une héroïne plus vraie que nature dont je me souviendrai longtemps.

Mille Pertuis, de Julia Thévenot

Voilà mon troisième roman de sorcières, et quel roman ! En voici le résumé :

« Si, du haut de ses quinze ans, Ortie se retournait sur son enfance pour tenter de retracer le chemin à l’envers, c’était là qu’elle se retrouvait : sur le sofa de Tante Viv, entre ses deux sœurs. Épine, préadolescente aussi brillante que contradictoire, source infinie de portes claquées, qui remplissait 90% de l’attention de leur sorcière de mère. Et la petite Ronce, qui avait une façon bien personnelle d’occuper les 10% restants. C’est à cette époque- là que tout a vrillé. Là qu’Ortie a commis un impair de catégorie supérieur, qui lui a pavé la voie vers de très sérieux problèmes. »


Trois sœurs sorcières absolument renversantes, dotées d’une mère aussi magnifique que terrifiante que j’ai adoré redouter, et des tantes (sorcières, elles aussi) qui ont chacune leur rôle à jouer dans ce monde de sorcellerie étrangement dépourvu d’hommes… à moins que… Une magie viscérale (c’est le cas de le dire), organique, bariolée et exaltante, avec des règles cruelles, mais plutôt malignes (notamment en matière de boussole), un roman un peu punk, un peu déjanté, très intelligent, complètement jubilatoire, empli d’humour, de magie et de nombrils qui palpitent… ou disparaissent. A découvrir de toute urgence avant la sortie du tome 2 (c’est un diptyque !) Et mention spéciale pour la très belle couverture de Anne Zeum !

Babel, de R. F. Kuang


Voilà un roman dont on entend également beaucoup parler et qui m’a fait réfléchir sur de nombreux sujets. Toute la réflexion menée autour de la traduction est extrêmement intéressante. La couleur sombre de ce roman est donnée d’entrée de jeu : « un acte de traduction est toujours un acte de trahison ». Dans cet Oxford uchronique du 19e siècle s’est développé une technologie proche de la magie et basée sur les subtilités de la traduction : il s’agit de l’argentogravure qui facilite la vie des nantis et contribue à l’essor économique et politique de l’Empire Britannique. On y suit l’histoire de Robin, un orphelin chinois recueilli par un éminent professeur de Babel, lieu de savoir dédié à la traduction et à l’argentogravure, au sein de l’Université d’Oxford. Tiraillé entre son passé, ses origines et les exaltantes possibilités d’avenir que lui promet Babel, Robin va devoir faire des choix radicaux alors que les dessous de l’Empire lui sont peu à peu révélés. Une uchronie impressionnante, un récit sans concession qui donne du grain à moudre et nous extirpe sans ménagement de notre zone de confort pour poser les questions qui dérangent.

Les tribulations d’Esther Parmentier, cadavre haché, vampire fâché, de Maëlle Desard

Ma quatrième histoire de sorcière, cuisinée à une sauce une fois encore radicalement différente ! Il faut dire que la plume de Maëlle Desard, qu’il me tardait de découvrir, constitue une sauce à part entière composée de multiples ingrédients : humour potache, humour délectable, humour irrévérencieux, humour en jeux de mots, humour en vulnérabilité, humour plus cocasse que ça tu meurs… Esther Parmentier réalise soudainement qu’elle est une sorcière, mais pas de chance, une sorcière nulle. Elle se fait cependant embaucher dans une agence supernaturelle pour mener une enquête aux côtés de goules, de vampires, de fantômes et autres créatures sympathiques. Bref, ce roman, cette chère Esther et son insupportable (mais pas tant que ça) maître de stage, l’agent Loan, m’ont offert une tranche de bien-être et de rigolade estivale bienvenue.

The Narrow Road between Desires, de Patrick Rothfuss


Et pour finir, j’ai lu, en langue anglaise (il ne me semble pas qu’elle soit traduite), la novella, The Narrow Road between Desires, de Patrick Rothfuss, l’auteur du Nom du Vent – un roman de fantasy qui se hisse haut sur le podium de mes lectures favorites. On suit, dans cette novella, un épisode de la vie de Bast (l’un des personnages secondaires de la trilogie principale). Le procédé est similaire au court roman publié précédemment par l’auteur, The Slow Regard of Silent Things, mettant en scène un épisode de la vie d’Auri (un autre personnage secondaire du Nom du Vent). J’avais adoré ce roman. Bast et Auri sont des personnages d’une telle richesse qu’ils méritaient bien d’avoir leur moment sous les projecteurs. La plume de Patrick Rothfuss est merveilleuse, elle allie philosophie, émerveillement, poésie, la ferveur d’une narration épique, l’art du conte, des métaphores et un amour immense pour le cœur humain qui ne cesse jamais de m’émouvoir. Si vous n’avez jamais lu le Nom du vent, je ne peux que vous conseiller de vous y plonger. Les deux premiers tomes de la trilogie ont été publiés en français. Nous attendons toujours le troisième tome… qui arrivera en son temps et son heure, au juste moment.


Nous voilà à la fin de cette revue, bondissants visiteurs, tournoyantes visiteuses, nobles pousses de séquoia ! J’en profite pour mentionner 13 nouveaux titres qui ont rejoint ma Pile à Lire comme toujours exponentielle !

★ – Dents de soie et A un cheveu, de Maëlle Desard, pour continuer à explorer sa plume avec de nouvelles histoires.
★ – De délicieux enfants, le dernier roman de Flore Vesco que je me réjouis de déguster.
★ – Emblèmes (les deux tomes !) – une œuvre de Ina Siel, autrice française que j’aimerais beaucoup lire.
★ – NEB de Caroline Solé, là aussi une autrice française qu’il me faut absolument découvrir.
★ – Ilos de Marion Brunet, dont j’ai entendu beaucoup de bien.
★ – La duologie L’Engrange-Temps de Nell Pfeifer. J’ai eu le plaisir de rencontrer Nell aux Imaginales et j’ai très envie d’en savoir plus sur un certain Farandole.
★ – Les frères Cœur-de-Lion, de Astrid Lindgren. C’est en lisant le guide de Clémentine Beauvais que j’ai retrouvé la trace de ce titre qui a marqué mon enfance et que je voudrais donc relire.
★ – Prospérine Virgule-Point de Laure Dargelos. Ce roman m’a été recommandé et offert par une libraire los d’une session de dédicaces. Hâte de m’y plonger !
★ – If we were villains de M.L. Rio ; un roman paru chez BigBang, ma maison d’édition, et dont le récit s’ancre sur la scène théâtrale. Il m’intrigue énormément.
★ – La Ballade funèbre de Hart Mercy, de Megan Bannen. Un cadeau de ma maison d’édition également dont je suis curieuse.
★ – Empire of the Damned, de Jay Kristoff. Je voue une admiration féroce à la plume de Jay Kristoff. Et il me tarde de découvrir en langue anglaise le deuxième tome de sa plus récente trilogie.
★ – La Mer Chantera ton Nom, de Laura Nsafou. Hâte de me plonger dans les mystères de cette histoire dont j’ai tant entendu parler !
★ – La dernière Allumette, de Marie Vareille. J’avais adoré l’un de ses précédents romans et me réjouis à la perspective de découvrir celui-ci.

Sur ces belles paroles, je file profiter de cette pause estivale pour… aller lire !

Lumière sur ta journée !

Siècle

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